• Ensemble pour l’École inclusive

Le secrétariat d’état chargé des personnes handicapées et le ministère de l’éducation nationale publient conjointement un bilan d’étape sur l’action du gouvernement en 1 an. S’y ajoutent les perspectives de travail pour aboutir à l’horizon 2022 à « une École de la République pleinement inclusive ».

Un document synthétique… mais plutôt détaillé :

  • 1 an d’action pour l’École inclusive
  • Garantir l’accessibilité numérique des savoirs
  • Les ULIS par département
  • 2022 : une École de la République pleinement inclusive
  • Diagnostic et grands axes de progrès
  • Concertation et groupes experts
  • Expérimentation de pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL) dans chaque académie.

http://www.education.gouv.fr/cid132935/ensemble-pour-l-ecole-inclusive.html

Un document politique donc, qui vise à une évolution nette et qui va au-delà de l’éducation inclusive puisqu’il ré-interroge sur les structures d’accueil, les procédures de prise en charge, la formation et le recrutement des personnels mobilisés…
Rendez-vous est pris en septembre 2018 :
« …, Jean-Michel BLANQUER, ministre de l’Éducation nationale,
et Sophie CLUZEL, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes
handicapées lancent une concertation auprès du Conseil national consultatif des
personnes handicapées, des parents d’enfants en situation de handicap, des
organisations syndicales et des accompagnants, pour rénover le dispositif
d’accompagnement des élèves en situation de handicap à partir de la rentrée 2019. »

À suivre de près dans les applications !

Dossier de présentation :_Ensemble_pour_l’école_inclusive

 

 

 

• Ce mot a disparu !

 

Nous avons de belles théories qui nous aident à mieux comprendre ce qu’est apprendre, ce qu’est enseigner : qui nous renseignent de mieux en mieux sur ce qui se passe dans le cerveau, le rôle des émotions, comment fonctionne la mémoire et ce qu’il convient de mettre en place pour faciliter son travail… Les psychologues du développement, nous ont permis de regarder l’enfant autrement… Les neuro-psychologues nous éclairent de plus en plus sur la compréhension des troubles et des profils cognitifs si divers…

Nous avons élaboré de nombreux modèles pédagogiques, pour faire fonctionner les classes. Expériences des écoles nouvelles, travaux menés sur la différenciation pédagogique, sur la pédagogie institutionnelle, sur les pédagogies coopératives, sur les pratiques d’éducation inclusive … Que de matériaux à découvrir, redécouvrir. Que de pédagogues à lire et relire ! Même si le chant des sirènes résonne parfois et siffle ces courants « pédagogistes » : Enfin il suffit de maîtriser son contenu et d’avoir une autorité naturelle pour faire cours !

Nous avons toutes sortes de visions d’experts sur l’école qui rendent compte de nos difficultés, nous aident à les comprendre. Données sociologiques historiques, psychologiques, économiques…

Nous avons de beaux outils qui nous permettent de varier les démarches… Outils numériques, banque d’images, livres de littérature de jeunesse, documents supports de qualité, jeux sérieux ou jeux tout courts, films ou vidéos, équipements ultra sophistiqués par fois dans nos salles (je sais bien que ce n’est pas ainsi partout)

Chacun est donc conduit à réaliser sa propre synthèse, en piochant ici et puis là, en testant aussi ce qui lui semble intéressant…   Chacun fait ainsi son miel et c’est bien.  Mais dans cet effort que nous faisons tous pour exercer notre mission au mieux, en nous appuyant sur ces nombreux apports, un mot ne se prononce plus.

C’est le mot AMOUR.

Comme le soleil, indispensable à cette belle alchimie du miel, L’amour est cette qualité en soi qui nous permet de regarder les élèves autrement, d’établir une relation, d’inviter chacun à se dépasser. L’amour est cet ingrédient indispensable qui nous porte à vouloir faire œuvre d’éducation et d’enseignement. Il est grand temps de sortir ce mot de son silence institutionnel et de reconnaître que ce mouvement vers l’autre, les autres enfants, élèves, adultes qui nous porte chaque jour vers nos salles de cours se nomme Amour.  C’est bien lui qui tissera la confiance indispensable entre adultes et entre adultes et jeunes ; c’est bien lui qui précède la joie d’apprendre ensemble et la nourrit.

Souvenez-vous, cherchez… Quand l’avez-vous entendu pour la dernière fois ? Au sein de nos établissements scolaires, dans nos salles de professeurs, dans les couloirs… ?  Dans les formations, dans les médias ?

Cela ne veut pas dire que nous ne le vivons-pas, mais cela me donne cette impression que c’est devenu un mot tabou.

Un risque pour les jeunes !

Un risque pour les adultes !

Bien sûr, il y a eu des actes condamnables de pédophilie, mais cela n’est pas de l’amour que je sache, au contraire, il s’agit bien d’une perversion de l’amour. Peut-on grandir sans amour ? Peut-on apprendre avec quelqu’un  qui ne renvoie pas cette image tranquille de  l’adulte qui enseigne par amour  de sa discipline, du métier, et des jeunes qui lui sont confiés ? Tous ces jeunes qui, traversés par des histoires familiales parfois si lourdes, ont souvent rebondi par la rencontre d’un enseignant qui est devenu tuteur de résilience, ainsi que le montre Boris Cyrulnik. Il s’agit bien  de la victoire humble et discrète de l’amour qui donne sans attendre et sans compter, qui guérit ainsi.

 

• Organiser les aides en classe

L’école inclusive est une école de la coopération et non de la compétition.  Cette conception est présente chez de nombreux auteurs et  s’actualise à nouveau comme une pratique qui vise à permettre une participation plus active de tous les élèves aux situations d’enseignement apprentissage proposées en classe. En effet, si lors des entreprises menées par le courant de l’école nouvelle, de nombreuses expérimentations posaient ce postulat, les raisons que nous donnons aujourd’hui sont à la fois proches et se sont enrichies de nombreux travaux de recherche et de conceptions  qui ont évolué, que ce soit par l’apport sur les différents modèles de l’apprentissage, mais aussi sur les données des neurosciences cognitives.

Quels sont donc les termes qui sont en jeu ? Activité, participation, modèle socio-constructiviste, intelligence collective… Il s’agit bien de  participer ensemble à une activité proposée qui va permettre de construire des apprentissages. Si la personnalisation des parcours est une recommandation  assez reconnue par la communauté internationale pour améliorer la scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers, il n’en demeure pas moins que l’école est bien un lieu de l’apprendre ensemble. Cela nécessite que chaque enseignant y consacre du temps  et réfléchisse aux stratégies possibles pour faciliter cette coopération. Sylvain Connac a largement développé ce domaine de recherches ; il montre entre autre que cette coopération aide aussi les élèves qui n’ont pas spécialement de difficulté à approfondir leurs stratégies… Tout élève peut un jour ou l’autre avoir besoin d’aide. Quand « je ne sais pas faire » que je sois « un élève BEP ou pas », je peux l’utiliser. C’est une autre vision de la classe et du vivre et apprendre ensemble  qui se développe ainsi. La stigmatisation peut s’atténuer.

Aurélie Bovin, s’inspirant de ces travaux vous propose ici son travail. Autour du tutorat, elle a réalisé avec ses élèves une charte de l’aide ainsi qu’un brevet de tuteur.
A lire pendant les vacances pour s’en inspirer et expérimenter à votre tour dès la rentrée prochaine.

A lire : Charte tutorat. Aurélie Boivin

• Évaluation du dispositif « Plus de maîtres que de classes »

Voici une analyse qualitative du dispositif « plus de maîtres que de classes » réalisée par des conseillères pédagogiques de Loire Atlantique et Marie Toullec-Théry. Des éléments très intéressants à découvrir qui rendent compte du travail mené par les enseignants et qui éclairent les modalités de travail; co intervention, co enseignement, co préparation…

Si les enseignants au départ, se sont concentrés sur le changement des comportements des enfants, le travail d’observation et d’analyse se porte ici sur les apprentissages et les aspects pédagogiques et didactiques qui concernent essentiellement le langage oral, la lecture, et les mathématiques.

A lire donc: Article Evaluation PMQC 44 _ 2016-2017

• Noam est d’abord un garçon, un élève…

Nous entendons encore parler des élèves ainsi : les Ulis, les handicapés, les BEP… Nous avions entendu d’autres termes, idiots, débiles, imbéciles… termes datant du 18ème ou 19ème et qui ont continué à résonner dans différents lieux. Ces raccourcis témoignent des relations que nous établissons avec des personnes, des élèves, des enfants qui présentent un déficit d’autonomie dans leur vie quotidienne.

Pouvons-nous enfin accorder notre expression aux fondamentaux anthropologiques qui distinguent tout homme d’un objet, qui ne nous autorisent pas à réduire une personne à une catégorie ?

 

 

SI la publicité suivante cherche bien à récolter des fonds pour la recherche, l’entrée par le trouble de Noam nous empêche de voir que Noam est d’abord un garçon, un élève en CE2… pour qui l’équipe va trouver des aides pour lui permettre de suivre au mieux la vie de sa classe en développant son autonomie….

 

Les 2 nouveaux termes que j’entends actuellement sont « les Ulis » ou les « BEP » ! Quel étrange raccourci ! Quelle paresse de notre part !

Or, il s’agit d’élèves qui ne sont pas complétement autonomes dans leur vie quotidienne et dans les apprentissages qu’ils vont construire à l’école. Prenons donc la peine d’accorder notre langage au respect de la dignité de chacun et parlons de cet élève qui est en 4eme et qui va par moments en Ulis, de cet élève qui est aidé dans sa classe par son enseignant, d’autres élèves…

Ces besoins d’aides, qu’elle qu’en soit l’origine, peuvent se produire à n’importe quel moment de la scolarité, ou exister tout au long de la scolarité ; ils peuvent être plus ou moins importants, nécessiter différents types d’aides. En fait, il nous faut penser la question de l’autonomie de l’élève et envisager les aides en vue d’une amélioration de cette autonomie. Un élève qui a des besoins éducatifs particuliers a donc des besoins d’aides, variables et différents dans le temps et suivant les lieux. Il nous faut bien interroger leur pertinence et leur maintien. Les équipes de suivi de scolarisation, ou les équipes éducatives doivent bien prendre en compte cette question en vue de faire évoluer les différents projets individuels ou aménagements. Il nous faut aussi entendre le point de vue de l’élève et de sa famille. En particulier, nous pouvons aussi être devant des situations difficiles quand l’élève ne veut plus d’aides. Comment là aussi, entendons-nous son expression ? Comment la prenons-nous en compte ? Restons-nous dans une attitude d ’emprise de par notre statut de professionnel ou accompagnons-nous le sujet dans le respect de son choix ? Nous touchons là, cette question de l’éthique relationnelle au sein de l’école, au sein des classes, dans les partenariats…

Le changement de paradigme de cette éducation inclusive, appelle cette réflexion et ce respect du sujet, de chacun des sujets ; nécessite aussi notre vigilance dans notre façon de parler et notre analyse pertinente pour adapter au mieux les aides en fonction des différents contextes présents au sein de l’école.

Véronique Poutoux, rédactrice en chef, le 6 juin 2018.

• Évaluer son sentiment d’efficacité en tant qu’enseignant spécialisé

Les outils que nous vous présentons ici sont le fruit d’une réflexion menée au cours de l’année scolaire 2017-2018 par un groupe d’enseignants spécialisés du Finistère. Il a pour vocation d’évaluer le sentiment d’efficacité personnelle (Bandura, 2003) des enseignants spécialisés au regard des formes d’interventions définies dans le référentiel de compétences (Gouvernement de France, 2017).

Ce groupe de travail s’est attaché à décliner les 20 formes d’intervention en actions concrètes à l’appui de leurs propres expériences et de nombreuses références théoriques. Les marguerites qui accompagnent le tableau de référence (très inspirées du sémaphore proposé par Véronique Poutoux) permettent de se positionner aisément.

Voir les documents joints :

  • Les différentes modalités d’intervention en fonction des 3 axes du référentiel du CAPPEI

https://www.versunecoleinclusive.fr/wp-content/uploads/2018/06/Document-daccompagnement-Modalités-dinterventions-et-actions-enseignant-spécialisé.pdf

  • Marguerite : outil pour se positionner et analyser son travail au regard du nouveau référentiel CAPPEI. ( bien consulter les 3 classeurs)

https://www.versunecoleinclusive.fr/wp-content/uploads/2018/06/Marguerite-positionnement-enseignant-spécialisé.xlsx

Cet outil, propice à l’évolution et à l’enrichissement des pratiques individuelles a également pour vocation de nourrir les échanges (formels, informels) entre pairs, au sein de groupes de travail, ou lors de formations, de communications, etc. Certains d’entre nous pourront s’y référer avec profit au moment de se présenter aux épreuves du CAPPEI.

  • Pour définir le sentiment d’efficacité personnelle nous pouvons retenir :

Le sentiment d’efficacité personnelle désigne les croyances des individus quant à leurs capacités à réaliser des performances particulières. Il contribue à déterminer les choix d’activité et d’environnement, l’investissement du sujet dans la poursuite des buts qu’il s’est fixé, la persistance de son effort et les réactions émotionnelles qu’il éprouve lorsqu’il rencontre des obstacles.

 Il existe trois sources d’activation du sentiment d’efficacité personnelle qui permettent de le construire et de le modifier :

– Expérience active de maîtrise (réussites)

– Expérience vicariante (observation d’un pair)

– Persuasion verbale (regard d’autrui)

– Les états physiologiques et émotionnels

 

D’après Maïlys Rondier, « A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle », L’orientation scolaire et professionnelle [En ligne], 33/3 | 2004, mis en ligne le 28 septembre 2009, consulté le 28 mars 2017.

 I. Artur, G. Cloirec, M. Lamouric et A. Lepavec – EC29, juin 2018


• Comment expliquer la courbe exponentielle du développement de l’autisme ?

La vidéo suivante relate de façon précise les études menées aux États Unis sur les liens entre le vaccin ROR et l’autisme. Elle montre aussi comment les résultats de ces études n’ont pas été pris en compte face aux intérêts commerciaux des laboratoires pharmaceutiques.

Nous comprenons que l’origine neuro- développementale  de l’autisme ne peut expliquer cette croissance exponentielle du nombre de cas d’enfants avec autisme. D’autre part, les descriptions des parents sont toujours les mêmes et bousculent aussi l’hypothèse uniquement neuro- développementale: en effet ces enfants avaient un développement normal avant de subir cette vaccination: suite à la vaccination, ils ont des réactions fortes et perdent par exemple le langage, ou la marche qui était acquise.

Édifiant ! Cela donne à réfléchir.

Ce documentaire co-produit par Cinéma libre studio a été censuré dans plusieurs pays et ne sera sans doute plus visible d’ici quelques jours !  : https://vimeo.com/203540788

• Colloque Éducation inclusive

Les 28 et 29 août 2018 se déroulera le 8e Colloque international de l’Observatoire des pratiques sur le handicap-Recherche et intervention scolaire (OPHRIS).
Cette année, le colloque se déroulera en Suisse, à Sion, invité par l’université de Genève

Les colloques de l’OPHRIS réunissent des experts qui, en référence à des ancrages disciplinaires et théoriques variés, inscrivent leurs travaux dans le domaine de l’enseignement, de la formation et des conditions de scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers, avec un intérêt particulier pour les problématiques liées à l’école dite inclusive. Afin de dynamiser le travail scientifique, les pratiques professionnelles et les conditions d’accessibilité aux apprentissages, ils stimulent les échanges entre les terrains de la recherche, de la formation et de l’enseignement.

« Éducation inclusive : Transitions – Transformations – Routines » énonce les trois axes thématiques qui structurent les apports du colloque 2018 : conférences plénières, communications et table ronde contribueront à interroger les changements effectivement suscités par les dispositions politiques liées à l’école inclusive, ce qui s’y jouent pour les chercheurs, les professionnels et pour les élèves, les obstacles, les leviers et les ajustements aux transformations.

Parmi les intervenants :
Gérard Bless, Professeur à l’Université de Fribourg

Serge Ebersold, Professeur au Centre national des arts et métiers (CNAM)
Mariane Frenay, Professeure à l’Université catholique de Louvain
Julie Ruel, Professeure à l’Université du Québec à Outaouais
mais aussi
Hervé Benoit & Anne Gombert (INS HEA et Université Aix-Marseille)
Marie Toullec-Théry (Université de Nantes)
Toutes informations sur https://www.unige.ch/ophris2018/

• Transformer des fichiers textes en supports audio

Astread, un outil efficace pour les élèves à besoins éducatifs particuliers Astread est une application gratuite en ligne crée par deux développeurs lyonnais qui permet de convertir la plupart des fichiers texte en audio. À l’origine, l’application a pour but de convertir les ebooks en format Epub ou Pdf pour créer des livres audio mais il est particulièrement efficace pour convertir les .pdf, .doc, .docx, .ttxt, .rtf, et .odt.

Comme il s’agit d’un service automatique, la voix peut paraître un peu robotique à la manière d’un GPS mais le résultat est de qualité. Cet outil est donc très pratique pour renforcer voire remplacer la trace écrite et proposer un enregistrement audio des différents supports en fonction des besoins de chaque élève (troubles de la vision, de la lecture…). En effet les voix sont paramétrables (choix entre une voix féminine ou masculine, vitesse d’élocution, volume d’enregistrement) et son utilisation est facile :

  • Inscrivez-vous gratuitement sur le site : www.astread.com,
  • Télécharger votre texte (formats acceptés : epub, .pdf, .doc, .docx, .txt, .rtf et .odt) cliquez sur « transférer »,
  • Choisissez la voix (féminine ou masculine parmi 7), le volume et la vitesse (de -10 à + 10),
  • Lancer l’aperçu,
  • Si le résultat vous convient, générez la version audio,
  • Le temps nécessaire à la conversion dépend de la taille de votre texte, vous êtes averti par mail lorsque le fichier son est prêt.

Cependant l’application ne supporte pas ou mal certains caractères, il ne reconnaît pas par exemple le « Œ », les numérotations de type puce, et les nombres (il énumère des chiffres). Il faut donc penser à adapter si nécessaire le texte à convertir (nommer les parties d’un plan, nommer les questions, écrire les nombres en lettres, …) et à renforcer la ponctuation

Malgré ces petits inconvénients, Astread est un outil bien utile et rapide pour donner de la parole à nos textes. De  plus il est lisible sur à peu près tous les supports (format mp3).

• Vademecum pour préparer au mieux la rentrée 2018

Combien de difficultés rencontrées pour obtenir à temps les notifications de la MDPH concernant des situations d’élèves ?  Ce vademecum, publié par la Caisse nationale de Solidarité pour l’Autonomie, à destination des MDPH et des autorités académiques tente d’harmoniser les pratiques et de rappeler l’esprit de la loi de février 2005 lié à la notion de projet de vie, de souplesse, d’anticipation et de réponses adaptées aux besoins.

Un effort pour anticiper au mieux les différents moments de l’année… A consulter absolument: