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• Des parents parlent du confinement

Cinq parents, militants Quart Monde*, s’adressent aux enseignants pour leur faire part de leur reconnaissance du travail mené, des difficultés aussi rencontrées durant le premier confinement et de leurs inquiétudes…

Ils redisent aussi l’importance qu’ils accordent à l’école… 

5 témoignages directs à partager … Car il s’agit bien de mieux comprendre en ces temps difficiles le vécu de  chacun.

Merci à ATD Quart Monde de permettre cette diffusion.

* Militants Quart Monde : personnes en situation de précarité, engagées dans la lutte contre la grande pauvreté. 

• La surdité, la recherche s’accélère…

La surdité en chiffres 900 millions de personnes touchées d’ici à 2050

5% de la population mondiale concernée

1000 nouveaux-nés sourds par an

Une personne sur trois de plus de 65 ans est malentendante

https://www.pasteur.fr/fr/journal-recherche/dossiers/surdites-recherche-s-accelere

Un article intéressant pour actualiser nos connaissances et mesurer l’importance de cette déficience et de ses conséquences.

Dans la période néonatale, elle est particulièrement problématique car l’audition est indispensable à l’acquisition de la parole, outil majeur de communication : l’afflux d’informations auditives vers les aires cérébrales de traitement du langage est capital au cours des 6 premières années de vie, surtout entre 0 et 3 ans. Une surdité profonde non corrigée par un appareillage auditif empêchera l’acquisition spontanée du langage oral. En cas de surdité moyenne, le langage peut être acquis mais l’atteinte auditive de l’enfant aura un impact sur l’apprentissage scolaire, le développement cognitif et l’adaptation sociale. Car quel que soit l’âge auquel elle survient, la surdité altère considérablement les interactions sociales : mal entendre ou ne plus entendre autrui conduit à l’isolement social, à l’origine d’une souffrance psychologique qui plonge certains malentendants dans un état dépressif. La surdité est souvent associée à un déclin cognitif, surtout chez les personnes âgées (altération de la mémoire, des capacités d’attention…). On sait depuis peu qu’elle est le principal facteur de risque, modifiable, de survenue des maladies neurodégénératives.

• Le coenseignement ? Y voir plus clair !

Marie Toullec-Théry et Philippe Tremblay publient  » Le Coenseignement : Théories , recherches et pratiques ».
Nous connaissons bien les travaux de ces deux auteurs et savons comment leur réflexion est étayée et éclairante pour les pratiques d’enseignement inclusives.

      « Le coenseignement est défini comme un travail pédagogique en commun, dans un même groupe et
dans un même temps, de deux ou de plusieurs enseignants se partageant les responsabilités éducatives pour atteindre des objectifs spécifiques (Tremblay, 2012). Cet ouvrage a l’ambition de faire un point sur ce que l’on sait déjà à propos du coenseignement, de ses intérêts, de ses avantages comme de ses limites. Le propos ne se limite pas seulement aux fondements sociohistoriques, aux définitions et aux configurations du concept, mais s’intéresse aux conditions de mise en œuvre effectives, en n’oubliant pas le travail préalable de planification. Notre préoccupation est aussi d’exemplifier cette synthèse, fondée sur des résultats de recherches, par des pratiques effectives et des discours de coenseignants, qu’ils se trouvent en France, en Suisse, en Belgique ou au Québec. »
Divisé en dix chapitres, cet ouvrage intéressera, au premier plan, les étudiants en

sciences de l’éducation, les enseignants et les directions d’école souhaitant s’engager dans cette transformation de l’École ou simplement intéressés par cette question.

A lire donc...
le sommaire met déjà en appétit…

• Accessibilité et E-learning

Nombreux sont les enseignants et formateurs qui ont été confrontés à l’enseignement à distance sans y avoir été préparés ni accompagnés.
Dans les faits, cet acte d’enseignement relève de l’ingénierie pédagogique multimédia. Celle-ci ne se suffit pas à elle-même, puisque l’ingénieur pédagogique travaille avec les experts contenus (que sont supposés être enseignants et formateurs !).
Car c’est un métier ! …et expérience et expertise en ce domaine permettent d’éviter des erreurs de stratégie, d’être vigilant et réactif à ce qui se passe sur et hors écran, dans les activités synchrones et asynchrones. Cela afin de choisir les solutions les plus efficaces, particulièrement dans un contexte de « tout à distance ».

Allison LaMotte est experte E-learning pour une entreprise internationale de formation à distance. Dans son blog, elle revient sur les bonnes pratiques du e-learning… (ce blog fait aussi la promotion des produits Articulate à destination d’une clientèle d’entrepreneurs, pas d’établissements scolaires ou de formation d’enseignants).

C’est dans un de ses derniers billets, qu’elle fait le point sur l’accessibilité* et reprend des fondamentaux généraux qui pourront être utiles à ceux qui veulent se lancer, se perfectionner, rester en veille. Notamment :

N’hésitez pas à réagir et à commenter cet article, surtout si vous entrez dans un projet de construction de modules de formation ou dans l’élaboration de sites Internet.

Avis, questions, conseils et expériences sont toujours bienvenus dans ces pages.

*Il s’agit ici de l’accessibilité dans son acception générale, et non pas de l’accessibilité pédagogique

• Journée éducation inclusive

Mardi 16 mars, le réseau des Inspé organise une journée d’étude scientifique consacrée à l’éducation inclusive.
Un mardi !!! On peut espérer que les conférences seront mises en ligne pour les suivre en différé ?
https://www.reseau-inspe.fr/inspeinclusive/

Deux conférences en matinée :

9h30 -10h30 : Pratiques d’enseignement dites inclusives ? Accessibilité au rôle social d’élève, aux savoirs et besoins pédagogiques et didactiques – Greta Pelgrims (PACES, Université de Genève) (45’ + 15’ questions)

11h00 -12h00 : Le numérique peut-il être un vecteur d’accessibilité pédagogique et didactique au temps de l’éducation inclusive ?  – André Tricot (Lab. EPSYLON, Université P. Valéry Montpellier3) (45’ + 15’ questions).

A noter, côté accessibilité : transcription de la parole en direct !

La participation est libre et gratuite sans inscription préalable, les liens de connexion sont disponibles sur la page :
https://inspeinclusive.sciencesconf.org/

Journée éducation inclusive

• Enseigner l’attention

Le n° 567 des Cahiers pédagogiques / février 2021

Aujourd’hui se multiplient les pratiques visant à développer l’attention des élèves, de la méditation de pleine conscience à des dispositifs s’appuyant ou non sur des recherches cognitives. 

Les Cahiers reviennent dans ce dossier sur la notion même d’attention et tout ce qu’elle implique comme activités et postures en classe.

Un webinaire réunissant plusieurs des auteurs autour de cette thématique se déroulera le mercredi 31 mars à 17h.
Inscriptions sur le site des CRAP :
https://www.cahiers-pedagogiques.com/

Les Cahiers pédagogiques n° 567

• CAPPEI, nouvelle circulaire

Elle était attendue depuis ce début d’année 2021, la circulaire précisant les modalités de formation et d’obtention du CAPPEI est enfin sortie !

https://www.education.gouv.fr/bo/21/Hebdo10/MENE2101543C.htm

Les 3 points forts :

  • les modalités de mise en œuvre de la formation professionnelle spécialisée ;
  • les modalités d’organisation de l’examen du certificat d’aptitude professionnelle aux pratiques de l’éducation inclusive ;
  • les modalités d’organisation de la validation des acquis de l’expérience professionnelle (VAEP) d’un enseignement inclusif.

Cette VAEP est une grande première… à suivre…

 

• Le PAI, quoi de neuf ?

Le ministère publie une circulaire sur le projet d’accueil individualisé (PAI) pour raison de santé. La visée est de bien clarifier les bénéficiaires, les responsabilités, la mise en œuvre dans une démarche concertée pour que les jeunes ayant des difficultés  de santé puissent effectuer leur scolarité au mieux.

La scolarité des enfants et des adolescents atteints de troubles physiques (allergies, asthme, diabète, épilepsie, drépanocytose, leucémie, etc.) ou psychiques (troubles scolaires anxieux, troubles du comportement alimentaire, syndromes dépressifs, etc.) évoluant sur une période longue, s’effectue selon les règles en vigueur de l’École inclusive et dans le cadre du respect de l’obligation scolaire.

C’est par une réflexion d’ensemble et un travail en équipe associant tous les membres de la communauté éducative que les conditions optimales sont réunies. Le directeur d’école ou le chef d’établissement est responsable de l’application du PAI. Les personnels de santé et d’action sociale en faveur des élèves apportent, chacun dans leur domaine de compétence, toute l’assistance requise aux équipes éducatives.

La notion d’établissement d’affectation, les rôles des uns et des autres (Chef d’établissement, médecin, parents, jeunes et enseignants) sont définis à la fois dans l’étape de l’élaboration mais aussi dans le suivi. L’importance est donnée à une démarche concertée. Le PAI peut se combiner avec les différents projets pédagogiques PPRE, PPS ou PAP.

Le projet d’accueil individualisé pour raison de santé (PAI) est conçu et mis en œuvre dans le cadre d’une démarche concertée. Il s’agit de faciliter le parcours de vie en structure collective d’un enfant ou d’un adolescent présentant un trouble de la santé.

Il est élaboré avec le jeune et ses responsables légaux, à leur demande ou en accord avec eux et avec leur participation. Les personnels de santé de la structure collective explicitent la démarche aux familles en tant que de besoin. Le projet d’accueil individualisé définit les adaptations nécessaires pour faciliter l’accueil de l’enfant ou de l’adolescent au sein de la collectivité. Il indique, si nécessaire, les régimes alimentaires, aménagements d’horaires, les dispenses de certaines activités, dès lors que celles-ci sont connues, incompatibles avec sa santé et les activités de substitution qui seront proposées le cas échéant. Il fixe les conditions d’interventions éventuelles médicales ou paramédicales des partenaires extérieurs.

Le PAI est un dispositif compatible avec la mise en place d’un programme personnalisé de réussite éducative (PPRE), d’un plan d’accompagnement personnalisé pour trouble d’apprentissage (PAP) ou d’un projet personnalisé de scolarisation pour handicap (PPS).

Il appartient aux personnels de l’école ou de l’établissement de mettre en œuvre les conditions de la continuité de la scolarisation de l’élève, en particulier la transmission des documents pédagogiques par tout moyen, notamment numérique.

La circulaire concerne aussi l’articulation de la scolarité avec les temps péri-scolaires mais aussi les structures de la petite enfance et aussi les accueils collectifs de mineurs. Elle précise aussi les modalités pour la restauration scolaire et les voyages scolaires.

Le secret médical est bien affirmé pour ce qui concerne le diagnostic mais le partage d’informations utiles aux mises en œuvre des aménagements, des procédures d’urgence…  est possible avec l’accord des personnes concernées.

Projet d’accueil individualisé pour raison de santé. circulaire du 10 février 2021

• Les mots avant-gardistes des évolutions, les écoutons-nous ?

Les mots et expressions changent et peu à peu s’installent, se répandent, se remplacent, se parlent sans que nous ne mesurions forcément ce qu’ils contiennent vraiment. Ils portent en eux-mêmes, en avant garde des changements de représentations, de pratiques… De nouveaux mots peu à peu s’imposent, d’autres s’oublient.

Mais pour nous qui les utilisons, avons-nous toujours conscience de tout ce qu’ils contiennent ? Ne les détournons-nous pas pour les cantonner à nos territoires de pensées connus ? Au final, nous ne les laissons pas agir vraiment et porter les changements qu’ils contiennent.

Ainsi, par exemple, intégration et inclusion, handicap et besoin éducatif particulier, école inclusive et éducation inclusive …

  • Intégration, inclusion… A l’école élémentaire, les classes de perfectionnement deviennent des CLIS (Classe d’intégration scolaire) en 2002, et des ULIS (Unités localisée pour l’inclusion scolaire) en 2015.Les élèves en situation de handicap peuvent être « intégrés » en classe ordinaire, ou en CLIS, selon la bonne volonté des équipes enseignantes et c’est à l’enfant de s’adapter à l’école. L’ULIS marque le passage fort de lieux séparés et plus ou moins fermés dans l’école à un dispositif souple, ouvert. La CLIS traite les difficultés, répare, permet à l’élève de s’adapter à l’école. Elle est comme une structure qui marque cette logique encore à l’œuvre de la séparation, et de la réparation.  L’ULIS doit apporter des ressources aux enseignants, aux éducateurs, aux élèves pour que ceux-ci puissent participer au mieux aux activités proposées au sein du groupe classe. L’ULIS doit faciliter l’inclusion globale de l’élève qui a des besoins éducatifs particuliers. Il ne s’agit pas seulement de réaliser des « inclusions » dans la classe de référence par doses plus ou moins grandes en fonction des possibilités de l’élève ou de l’acceptation par les enseignants des demandes du coordonnateur. Il s’agit de concevoir les aides les plus ajustées aux besoins de l’élève dans les différentes situations rencontrées au cours d’une journée de classe, d’une année d’école. Les enseignants font toujours au mieux dans le système dans lequel ils sont. Certains précurseurs, analysant leurs pratiques et voyant les dérives, tentent de faire advenir de nouvelles pratiques qui sont interrogées par les chercheurs et conduisent à des changements profonds… Ce sont les pratiques dans un contexte donné qui amènent les évolutions d’idées et d’aspirations. Loin de moi l’idée de critiquer ce qui a été proposé pendant un temps aux enfants des CLIS ; mais la question est celle du changement et des résistances qui se développent, cultivent des nostalgies et ne comprennent pas les mots qui portent ces évolutions. Ainsi avec le mot inclusion, le sigle ULIS, d’autres mots émergent tout aussi importants tels que participation, aides, accessibilité.
  • L’école inclusive est cette école qui scolarise tous les élèves, et tente de développer des situations d’enseignement/apprentissage qui favorisent la participation de tous en mobilisant au mieux toutes les ressources, celles de l’élève lui-même, des élèves, des enseignants pour que chacun développe au mieux son potentiel et puisse à terme trouver sa place dans une société devenue inclusive. Il n’y a plus un enseignant par classe, ou un enseignant par matière, mais une équipe responsable de la participation de tous les élèves aux propositions éducatives et pédagogiques. Ce ne sont plus les « ULIS » , expression pour désigner les élèves de l’ULIS, c’est Antoine qui est en 4eme et qui bénéficie des ressources que peut lui apporter le dispositif ULIS. L’école inclusive doit mettre en œuvre une éducation inclusive, qui est plus globale, qui considère chaque être humain au-delà de ses seules performances scolaires, ou plus tard professionnelles, qui prend en compte ses intérêts, ses talents particuliers, ses fragilités aussi. Si nous voulons effectivement développer au sein de l’école et de la société, une éducation inclusive, cela demande de reconnaître que les parents, les copains, les personnels médicaux, para-médicaux, les AESH (Assistant d’éducation pour les élèves en situation de Handicap) sont des acteurs à part entière de ce défi. Cela demande de réaliser que les seuls apprentissages « scolaires » contribuent avec d’autres situations à entretenir toujours le moteur de l’apprendre qui fonde l’être humain. Entendons-nous bien, apprendre, ici désigne toute situation vécue de laquelle je vais développer un nouveau savoir, savoir-faire ou savoir être… Et c’est bien dans ce développement que se construit chaque individu. Si les atteintes physiologiques, psychiques, relationnelles… sont très importantes, l’éducation inclusive vise à créer du développement, de la croissance en dehors des formats normatifs, en nous obligeant à regarder ailleurs et autrement la personne, à concevoir un environnement qui permette au sujet d’advenir tel qu’il est et aux autres personnes de vivre avec lui ou elle comme une personne. Nous le voyons, cela suppose de partager des valeurs humaines de respect, de dignité, de reconnaissance de l’altérité. L’éducation inclusive n’est pas uniquement là pour apporter un mieux-être aux enfants et aux personnes en situation de handicap mais bien pour éduquer chacun de nous à ce nouveau regard, à une autre façon d’entrer en relation, à nous permettre de vivre pleinement ces valeurs de fraternité, de fragilité partagée, et de création toujours renouvelée.

Nota bene : cet article est paru sous forme d’édito en mars 2019. il nous a semblé utile de le reproposer à la réflexion commune.

• D’une école inclusive à un enseignement supérieur inclusif, quel rôle pour les technologies éducatives ?

                Participez au Webinaire

                Jeudi 25 mars à 14:00h

 

Depuis mars 2020, avec l’adoption de l’enseignement à distance due à la pandémie, les étudiants en situation de handicap sont parmi ceux qui rencontrent les plus grands obstacles, car le soutien spécifique et les outils pédagogiques dont ils ont besoin ne sont pas toujours disponibles dans l’enseignement à distance et en ligne. Les handicaps nous affectent à des degrés extrêmement divers. Les troubles cognitifs, les profils cognitifs très divers, ou les déficiences sensorielles ne sont pas toujours « visibles », parfois même ils sont décelés tardivement. Cela rend le travail des enseignants difficile pour mieux s’adapter à ces besoins particuliers.

  • Si le recours aux technologies est associé à de nombreux bénéfices chez les étudiants présentant des besoins particuliers, ne faudrait-il pas aller au-delà de la réplication pure et simple de la classe dans un mode virtuel?
  • Faut-il revoir nos pratiques d’enseignement en se centrant sur la notion de besoins pédagogiques particuliers afin de permettre à l’élève de se développer et de progresser avec plus d’autonomie, et ce en prenant appui sur un plus vaste éventail de compétences?

Le concept clef d’ Universal Design for Learning (UDL) que nous traduisons ici sciemment par “accessibilité pédagogique”, pourrait peut-être apporter un début de réponse là où la personnalisation et la différentiation sont difficiles à mettre en place ou mal vécues par les élèves concernés.

Lors de ce webinaire, Sylvie Larbi, Véronique Poutoux et Stéphane Amiard partageront leurs expertises, et ensemble nous verrons comment les technologies peuvent répondre aux défis de l’accessibilité et de l’inclusion afin de promouvoir l’égalité des chances en matière d’éducation.

À qui s’adresse ce webinaire ?

Enseignants, responsables de programmes, chefs de département, formateurs, ingénieurs pédagogiques et Universitaires.

Intervenants externes:

    • Sylvie Larbi
    • Professeur agrégée en Collège et formatrice académique. Sylvie est membre d’un groupe de travail sur la plateforme inclusive autour de l’inclusion des élèves à haut potentiel à la DGESCO au Ministère de l’Éducation Nationale.

Plus d’information »

    • Véronique Poutoux
    • Enseignante à la retraite, ancienne directrice d’établissement scolaire et formatrice des enseignants spécialisés. Véronique est rédactrice en chef d’un site dédié à l’École inclusive.

Plus d’information »

    • Stéphane Amiard
    • Vice président Patrimoine et Transitions écologique et numérique à l’université d’Angers.

Plus d’information »

Pour s’inscrire: https://go.blackboard.com/innovation-series-fr