Repères

Parce que nous avons tous besoin de balises, de points d’ancrage, ces pages sont destinées aux articles de réflexion, aux sorties de publications et aux incontournables textes officiels.

• Une compréhension de l’éducation inclusive

Toutes nos félicitations à Pascale SCHAIRER, enseignante spécialisée et formatrice dans le domaine de l’éducation inclusive, qui a obtenu le grade de Docteure en sciences de l’éducation et de la formation. Sa soutenance de thèse a eu lieu le 22 mai 2024.

une compréhension de l’éducation inclusive, de la signification des obstacles à l’utopie

La thèse sera prochainement disponible ici




• 16 mai 2024. Comité interministériel du Handicap

Vous trouverez le dossier de presse présentant les différents axes de travail, une évaluation de ce qui a été fait de puis 2023, et ce qui reste à faire.

Voici le lien du dossier de presse : file:///C:/Users/pouto/Downloads/DP-CIH-2024-VDEF_1.pdf

Nous pouvons noter l’adoption généralisée de l’expression  » POUR TOUS » reprise pour tous les domaines de la vie : École pour tous, Université pour tous, Santé pour tous …  Changement important au niveau sémantique qui confirme bien que l’accès aux institutions ordinaires doit nous guider. Ainsi chaque élève sera doté d’un Numéro Individuel Éducation nationale à la rentrée 2024. Les PIAL vont se transformer peu à peu ( et assez lentement  !) en PAS, Pôle d’accompagnement à la scolarité. Cette mesure déjà annoncée en 2023 avait rencontré de nombreuses oppositions. Il s’agit que les premières réponses puissent être apportées au plus près des besoins des élèves . Ce premier niveau de réponses sera assuré par l’éducation nationale ce qui n’exclut pas de saisir la MDPH. Les enseignants référents( 1 par par PAS expérimental !) interviennent en accompagnement de la scolarité en appui aux enseignants . Va-t-on vers une transformation du métier d’enseignant spécialisé ? Ou plutôt une évolution en abandonnant le terme « spécialisé » , ce qui tendrait à montrer le passage attendu vers une logique renforcée de l’accessibilité, et une juste place faite à celle de la compensation.

Le rapport avec le secteur de la santé, les différents professionnels est entrain de se modifier. Plusieurs expérimentations vont se poursuivre: regroupement de SESSAD, présence et intervention de professionnels para médicaux dans les établissements scolaires et création d’IME dans les murs des établissements scolaires.( 10 projets d’ici 2027 … Avancée très lente ). Certains n’ont pas attendu : voir le lancement du projet le 5 avril 2023 « CO Construire un établissement universel » et la deuxième étape le 15 mai 2024

Si le terme accessibilité est présent partout, il n’est pas du tout évoqué en ce qui concerne les pratiques pédagogiques. Or, c’est aussi une des problématiques des enseignants pour permettre que tous les élèves accèdent à des apprentissages ambitieux et tenant compte des possibilités des élèves. Aucun questionnement non plus sur la réalité des écoles, des locaux, des effectifs et des programmes qui ne sont toujours pas en phase avec les savoirs à enseigner pour le 21 eme siècle. La contradiction avec les  réformes éducatives en cours et ce comité  interministériel du Handicap est criante.

Vous trouverez aussi en fin de document les feuilles de route ministère par ministère avec les plans d’action, l’échéancier. En ce qui concerne l’éducation nationale, rendez-vous à la page 41.

• Tous et toutes capables en Langues… et ailleurs. L’école n’est pas l’hôpital

Save the date :  du 20 au 23 Août 2024, 16ème université d’été du GFEN. Avec la présence de Jacques Bernardin.

Autour de ces 3 grandes questions…
« Ils ne prennent pas la parole »
Qu’est-ce qui « mérite » qu’on prenne la parole ?
Quelles ressources pour la faciliter ?
Quelles modalités de travail pour dépasser timidité, peur du risque, de l’erreur et du regard des
autres ?
« Ils ne peuvent pas se concentrer »
Quels enjeux dans les situations proposées pour retenir l’attention ?
Quelles modalités de travail pour maintenir l’attention et éviter le découragement ?
Qu’est-ce qui permet de convoquer l’énergie créatrice des apprenant.e.s ?
« Ils ne peuvent pas travailler ensemble »
Est-ce rentable de travailler ensemble ? Les élèves en difficulté ne freinent-ils pas « les bons
élèves » ?
Quelles situations de travail complexes (situations-problèmes) pour que tout.te.s soient
mobilisé.e.s et interdépendant.e.s ?
Quelles régulations pour permettre le travail collectif ?

Voir le programme et s’inscrire :   https://www.gfen-langues.fr/static/6afd1fb7936d957ad9c6f6d4d36cecbb/16me%20Universite%C4%9B%20du%20Secteur%20Langues%20du%20GFEN.pdf

• Agir ensemble pour une école inclusive

CANOPE propose deux temps forts sur les questions des collaborations interprofessionnelles.
A ne pas manquer.

AGIR ENSEMBLE POUR UNE ÉCOLE INCLUSIVE

ENTRE NÉCESSITÉ, CONTRAINTES ET CONDITIONS DE RÉUSSITE

Les mercredis 29 mai et 5 juin 2024 : deux rendez-vous pour débattre et partager autour des collaborations interprofessionnelles au service de l’école inclusive.

Inscrivez-vous à ces Conférences proposées par CANOPE que vous pouvez prolonger dans votre atelier CANOPE Local.

S’inscrire sur : https://www.reseau-canope.fr/agir-ensemble-pour-une-ecole-inclusive.html

• Dans la classe rêvée de Mme Marie France…

Il est bon de lire des articles qui rejoignent notre vision de l’école accessible à tous et qui montre bien la nouvelle orientation à prendre : quitter les logiques médicales, catégorielles ( et c’est un médecin qui le dit !) et individualisées, pour aller vers une prise en compte de toutes les diversités dans les classes, vers une logique d’accessibilité et de participation !

UN court extrait ci-dessous.. et le lien sur l’article https://www.usherbrooke.ca/actualites/nouvelles/societe/details/52576

Au-delà des diagnostics, un changement de paradigme

Pour que tous les enfants s’engagent dans les situations de développement ou d’apprentissage proposées, la professeure Nadeau croit qu’on doit savoir bien identifier leurs besoins et se distancier de la croyance que l’étiquette ou le diagnostic va tout régler.

Traditionnellement, à partir d’un diagnostic, on intervenait de façon particulière, ce qui demande des ajouts à son enseignement. L’éducation inclusive ne demande pas de faire cette individualisation des interventions et des contextes d’apprentissage. La réflexion englobe d’entrée de jeu la diversité des élèves et de leurs défis, même ceux qui ne sont pas encore connus.

Dans mon activité d’univers social, par exemple, comment vais-je m’assurer que les enfants qui ont plus de défis en lecture participent? Selon une approche médicale, on pourrait le réfléchir en termes d’enfants qui présentent un trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité ou un trouble du spectre de l’autisme. Mais l’idée, c’est plutôt de se demander quelles sont les capacités et les besoins de mes élèves pour pouvoir davantage s’attarder aux stratégies qui vont soutenir l’intérêt et la curiosité de tous les élèves, indépendamment de leurs besoins particuliers.

• Apprendre à se concentrer au collège

Apprendre à se concentrer au collège :  le programme d’éducation à l’attention ATOLE arrive !

Une fois n’est pas coutume sur notre site : auto-promotion pour le programme co réalisé par Bénédicte Dubois et Jean-Philippe Lachaux.
Actuellement sous presse, il sera disponible mi-juin, mais on peut le commander dès à présent auprès de l’éditeur.

En avant-première, la plaquette des éditions MDI :

 

• Vers une école accessible à tous, l’inspiration portugaise…

 

Dans le cadre d’une mobilité ERASMUS fin février 2024, j’ai pu mesurer de l’intérieur les avancées considérables du système éducatif portugais. Je vous en livre ici les caractéristiques principales.

Penser un projet de mobilité n’est pas chose aisée !

Faut-il se tourner vers les pays scandinaves, voisins souvent loués pour la qualité de leur approche éducative ? Traverser les Alpes pour mieux comprendre pourquoi le système italien est vanté par de nombreux depuis la fin des institutions spécialisées dans les années 1970 ?

Après avoir échangé avec différentes personnes bien renseignées, je décide de me tourner plutôt vers le Portugal. Une rencontre avec David RODRIGUES, éminent acteur de l’éducation inclusive au Portugal, finit de me convaincre que cette destination pourra viser les objectifs fixés : étudier un autre système éducatif avec des points de comparaison évidents avec la France, se rendre dans un pays où la culture est suffisamment proche de nos us et coutumes pour pouvoir s’en inspirer et pourquoi pas importer plusieurs éléments dans ma pratique au retour de cette mobilité.

…/…

Lire l’article dans sa totalité :

Vers une Ecole accessible à tous-PORTUGAL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

• Les groupes de niveaux ne sont pas compatibles avec l’école inclusive

La réforme phare présentée sous le mandat de Gabriel Attal  collecte de nombreuses critiques venant d’horizons différents: organiser les enseignements de français et Maths en classe de 6eme et 5eme en groupes de niveaux. Les intentions sont affichées : permettre aux bons élèves d’aller plus vite et mieux accompagner les élèves en difficulté

Notre nouvelle ministre, après de nombreuses consultations semble vouloir modifier le discours en utilisant le terme de groupes de besoins flexibles, en ouvrant la possibilité de dérogations en fonction des contextes et sous la responsabilité des chefs d’établissements et des équipes. Mais peut-elle piloter son ministère ?

Ce retour en force d’idées anciennes sur le plan pédagogique et éducatif est en contradiction avec la visée d’une école inclusive et d’une société inclusive. Certains, donc sans le dire, ou en affirmant de telles contradictions, entretiennent une posture idéologique et politique. Il ne déplait pas à de nombreuses personnes sans doute, de tout faire pour que les bons élèves ne soient pas entravés dans leur progression. Ils préfèrent entretenir un « entre soi » qui ne s’embarrasse pas d’une vision à plus long terme d’une société clivée dont on délaisserait une partie de la population… Ils ne souhaitent pas non plus s’attaquer vraiment aux difficultés réelles que rencontrent l’ école inclusive. D’ailleurs le terme « fourre tout » d’élèves en difficulté  employé dans le discours est significatif.

Cela rappelle d’anciens débats lors de l »industrialisation et de ces bandes de gamins  » assaillant » les villes …. Comment s’en protéger  était la question d’alors ?

Autres idées qui ont germé et se sont développées: les enfants handicapés ont besoin d’une éducation spéciale dans des lieux spéciaux… avec des personnes plus spécialisées. Les associations de parents créatrices de ces projets ont ensuite réalisé la dérive qui en découlait. Couper leurs enfants de l’école, c’était les couper à tout jamais d’une vie sociale et les reléguer dans des lieux « à part »… Comment a-t-on pu penser que mettre ensemble des enfants ayant des troubles du comportement ensemble pouvait leur permettre d’aller mieux ?

Comment peut-on penser aujourd’hui qu’organiser les classes de 6eme/5eme en classes de niveaux pour les enseignements de maths et de français permettraient aux élèves en difficulté de progresser ? Les « à part » spécialisés qui n’existaient plus dans l’école sont entrain de renaitre. Les parents des enfants affectés au groupe des faibles seront ils satisfaits d’une telle mesure ?  et quand celle- ci semble s’assouplir en parlant de flexibilité des groupes, nous savons bien que cela ne jouera que pour quelques élèves, que cela produira des « drames » pour des élèves du groupe des « forts » rétro calés dans le groupe des « moyens »

Au delà des questions, voici quelques pistes de réflexion que nous souhaitons partager :

  • La visée d’une école inclusive ne  peut exister sans la vision d’une société inclusive. Or, voulons-nous une société inclusive ? Si le consensus de surface semble être là, tant de contre exemples du quotidien montrent une volonté de préserver les acquis d’une élite et non de  mettre les compétences de ces élites au service de tous.
  • L’école française se débat entre le rêve  d’une école égalitaire  et d’une école élitiste. En fait l’école égalitaire est un mythe car si nous sommes égaux en dignité et en droits, nous faisons l’expérience de l’altérité qui nous montre combien nous sommes différents sur tous les plans constitutifs de l’être humain. Il s’agit de penser une école équitable qui propose à tous des situations où les progrès sont possibles et valorisant.
  • Ne devons-nous pas avoir le souci de former des personnes qui mettront leurs talents au service du bien commun ? Talents dans le domaine conceptuel, relationnel, artistique, visionnaire …  Et aujourd’hui plus qu’auparavant, ces différents talents ont besoin de former une intelligence collective pour résoudre les situations complexes qui se présentent sous forme de dilemmes et de contradictions au prime abord. Si dès le collège , un « tri’ s’opère, comment ces « bons , excellents élèves » apprendront ils à vivre avec des camarades différents ? C’est bien la logique de compétition qui sera poussée à son extrême, or l’école inclusive est une école de la coopération et non de la compétition.
  • Cela renvoie aux théories de l’apprentissage. Apprendre nécessite de se confronter à d’autres représentations, d’autres formulations, d’autres procédures. L’approche socio- constructiviste a-t-elle été comprise ? Est-elle définitivement abandonnée au profit de d’une seule approche cognitiviste, plus mécaniste, s’appuyant sur le fonctionnement du cerveau et qui pourrait prétendre avoir toutes les réponses pédagogiques efficaces ?
  • La différenciation pédagogique  fait partie des gestes professionnels des enseignants. Certes elle ne résout pas tout non plus mais les pratiques enseignantes ont évolué et se sont adaptées , non sans  difficulté, à l’hétérogénéité des élèves dans les classes. Il nous faut aller plus loin maintenant vers l’accessibilité pédagogique et didactique qui permet de repérer les obstacles en amont, de proposer des chemins variés dans la présentation des informations, des moyens d’expression et d’évaluation, de fournir en tenant compte des obstacles des aides utiles à tous.
  • Ce qui entrave ces pratiques différenciées accessibles, c’est avant tout un effectif trop important… La mesure la plus simple serait alors de  limiter les effectifs des classes à 22 et d’accompagner les enseignants dans les pratiques pédagogiques, d’organiser des temps possibles de mutualisation, de recherche commune. Cela renvoie à la question de l’annualisation du temps de travail des enseignants. pourra-ton en faire l’économie?
  • Nous pouvons aussi organiser des groupes  avec un nombre d’élèves moins important. Ce serait une très bonne chose mais en  réfléchissant autrement à l’organisation de ces groupes en fonction des différentes étapes de l’apprentissage en cours. ( temps de découverte, d’entrainement, d’appropriation… )
  •  Comment organiser nos enseignements  en tenant compte à la fois de l’hétérogénéité des élèves ayant le même age, tout en maintenant des exigences , et en répondant à des besoins différents ? Il faut pour cela situer les besoins des élèves  et caractériser des typologies de besoins… Penser des regroupements différents inter âges, pendant cette période collège,  n’ouvrirait-il pas une issue à ces débats stériles d’un autre temps ?

Plutôt que d’imposer des « doctrines » ( mot très à la mode et très significatif) , nous croyons davantage en la responsabilité des équipes, à leur intelligence collective, à leur expertise du quotidien pour trouver des solutions ajustées à leur contexte.

• Moi… je fais de l’OUPSOLOGIE !

Comprendre la pédagogie de l’erreur et intervenir efficacement.

Un ouvrage de Pierre Paul Gagné, Normand Leblanc et André Rousseau, avec la collaboration de Jean-Philippe Lachaux et Michèle Mazeau
Préface : Edouard Gentaz
Que de pointures réunies pour cet excellent ouvrage !
L’objectif principal de cet ouvrage est de fournir aux intervenantes et aux intervenants des outils pour enrichir le répertoire des compétences exécutives des élèves, afin qu’ils puissent gérer efficacement les erreurs qu’ils commettent et qu’ils les évitent dans le futur.
La première partie de l’ouvrage, « Comprendre la pédagogie de l’erreur », présente en 10 thématiques une synthèse des assises théoriques qui soutiennent les outils et les stratégies proposés dans la seconde partie. On y aborde entre autres l’erreur et le biais cognitif, la rétroaction sur l’erreur, la façon dont le cerveau traite les erreurs, la gestion de la charge cognitive et son impact sur l’erreur, la typologie des erreurs (analyse et interprétation des erreurs courantes) ainsi que la gestion émotionnelle de l’erreur.

La seconde partie, « Intervenir efficacement », regroupe 45 « espaces médiateurs » qui présentent des contenus mettant entre autres l’accent sur des stratégies et des outils à privilégier en amont de la production d’erreurs. On y trouve des sujets tels que : les stratégies d’organisation des connaissances; la planification d’un processus cognitif; le contrôle exécutif et l’inhibition cognitive; le dialogue interne; la flexibilité mentale, etc. Des activités permettent aux apprenants de comprendre que l’erreur n’est pas un échec mais bien un outil pour apprendre plus efficacement.

Le matériel reproductible comprend des fiches d’activités, des questionnaires, des grilles et des outils d’intervention ainsi que des affiches en couleurs servant de déclencheurs à des discussions métacognitives. Il est disponible sur le site compagnon : https://oupsologie.site/

Une édition Chenelière Education (Canada) disponible chez l’éditeur français Pirouette Editions – 240 pages – 52€
https://www.pirouette-editions.fr

Note de la rédaction du site : merci de noter que l’information sur les publications telles que celle-ci, est gratuite. Le choix repose uniquement sur la qualité voire les coups de cœur et n’est en aucun cas rétribué par les éditeurs. Ph. Dubois

 

 

• Un kit pédagogique pour les séances d’empathie à l’école

Un premier volume (ce kit devrait en comporter 3, à paraître courant 2024).
Dans le cadre de la prévention du harcèlement, le ministère de l’Éducation nationale lance une expérimentation de “cours d’empathie” dans plus de 1000 écoles volontaires entre janvier et juin 2024. Ce kit pédagogique, développé par la Dgesco, des délégations académiques, l’IGÉSR et Santé publique France, sera utilisé dans 30% de ces écoles.
Publié juste avant les vacances de Noël, il s’étalera sur trois volumes, avec les deuxième et troisième volets prévus pour fin janvier (en retard donc…) et le printemps.
On peut noter dès l’introduction, l’importance donnée au développement des compétences psychosociales (CPS).
Le kit, présenté comme une ressource directement mobilisable par les enseignants sans formation préalable, se veut prêt à l’emploi.
Évidemment, nombre d’enseignants, surtout s’ils sont vraiment volontaires et déjà sensibilisés aux CPS, sauront mettre du liant, du sens et de la profondeur en allant au-delà du kit.
Ce kit est bien sûr utilisable par les classes qui ne sont pas inscrites dans l’expérimentation (qui devrait être généralisée dès septembre !).

Le kit pédagogique (volume 1 – version janvier 2024)